


Dans Le Robert, l’Happy Hour est définie comme une période de la journée pendant laquelle un bar propose des consommations moins chères. Mais dans le Petit Chabada illustré, l’Happy Hour est avant tout un concert filmé depuis la grande scène du Chabada, à l’heure de l’apéro, comme si vous y étiez ! Que vous pouvez regarder sans masque, debout dans votre salon ou vautré dans votre canapé, mais tous ENSEMBLE !
Ce concert est enregistré en Israel le 5 avril 2021 pour l’Happy Hour du Chabada
Participez à cet événement en ligne sur notre page Facebook ou ici : https://www.youtube.com/playlist…
Déjà bien connue de la scène indie israélienne, cette guitariste hors pair ramène le rock à ses fondamentaux : l’improvisation et la scène. Sa musique oscille entre jazz, psyché et garage avec un subtil équilibre entre élégance et brutalité. Le large spectre de rythmes, de mélodies et de sonorités procure à Tamar Aphek une force tellurique rare. Une pépite indie rock donc qu’on ne pouvait vous cacher plus longtemps.
Tamar aphek © Rotem Lebel




Dans Le Robert, l’Happy Hour est définie comme une période de la journée pendant laquelle un bar propose des consommations moins chères. Mais dans le Petit Chabada illustré, l’Happy Hour est avant tout un concert filmé depuis la grande scène du Chabada, à l’heure de l’apéro, comme si vous y étiez ! Que vous pouvez regarder sans masque, debout dans votre salon ou vautré dans votre canapé, mais tous ENSEMBLE !
Ce concert est enregistré en Israel le 5 avril 2021 pour l’Happy Hour du Chabada
Participez à cet événement en ligne sur notre page Facebook ou ici : https://www.youtube.com/playlist…
Déjà bien connue de la scène indie israélienne, cette guitariste hors pair ramène le rock à ses fondamentaux : l’improvisation et la scène. Sa musique oscille entre jazz, psyché et garage avec un subtil équilibre entre élégance et brutalité. Le large spectre de rythmes, de mélodies et de sonorités procure à Tamar Aphek une force tellurique rare. Une pépite indie rock donc qu’on ne pouvait vous cacher plus longtemps.
Tamar aphek © Rotem Lebel